16 Déc, 2016 | Compte rendus et résultats, Résultats, Témoignages
L’ORIGOLE : ma 1ère aventure « longue » distance.
Cela fait tout juste 2 ans que je me suis mise à la course à pieds.
A l’époque j’habitais Paris et mes runs sur les quais de Seine parisiens n’ont pas tjrs été en ma faveur comme en témoigne ma fracture de la pointe de la rotule droite qui m’a valu 4 mois de repos forcé…..(l’horreur).
Mais tout ça c’est de l’histoire ancienne car entre temps j’ai découvert le trail ( quoi de mieux que la forêt pour te sentir vivante, libre et sans contraintes ) et j’ai déménagé dans une charmante petite ville au coeur du parc national régional de la haute vallée de Chevreuse.
Puis un défi à croisé ma route : L’ORIGOLE 55kms et 2000D+
Inscrite au CIVC depuis Août je pense pouvoir bien m’y préparer.
Les 2 entraînements par semaine sont un moyen pour moi de rencontrer de nouvelles personnes, de progresser grâce aux séances de fractionné et de découvrir les moindres recoins de la forêt via les sorties du dimanche matin.
De suite je me suis sentie à l’aise dans ce club où la solidarité, l’entraide et la simplicité sont de mise. Tout le monde se soutient dans l’effort et c’est vraiment très appréciable.
Au fil des entraînements je me sens un peu plus prête à vivre ma première expérience « longue » distance alors que je n’ai jamais couru plus qu’un semi marathon !!!!
Chacun y va de ses conseils et je découvre que certain(e)s ont déjà fait de belles et grandes courses (dans tous les sens du terme) : UTMB, ultra Trail en Guyane, diagonale des fous…..et j’en passe.
Je suis déjà aux anges d’entendre ou lire leurs récits mais en plus ils me soutiennent dans mon défi : quelle générosité.
Leurs conseils sont précieux et j’essaye de les appliquer.
Au décours d’un entrainement un mercredi soir je découvre que Philippe R. fait l’Origole version ultra (110kms) : chouette je ne serais pas seule au départ.
L’ENTRAINEMENT :
J’aurais aimé être encore plus assidue dans ma préparation mais j’ai aussi un métier qui me prend pas mal de temps.
12 heures aux urgences plusieurs jours d’affilé ne me laissent pas forcément assez d’énergie pour aller courir aussi régulièrement que prévu. Alors j’essaye de ne rater aucunes séances de fractionné pour progresser.
Les 28 kms du Trail des 7 Hameaux m’ont permis de voir que les kms n’étaient pas insurmontables et le Trail des Flambeaux m’a permis d’apprivoiser la forêt la nuit.
Sans parler des sorties nocturnes organisées par Philippe R. qui font que je suis de plus en plus à l’aise la nuit en forêt.
Merci à lui et aux courageux de CIVC qui sont venus à ces sorties.
En complément de tout ça j’essaye d’aller nager et de faire de la PPG.
Je mets clairement l’accent sur l’entrainement physique car je suis loin d’avoir le profil des athlètes de course à pieds et j’ai confiance en mon mental. Lui il devrait être au rendez vous et tenir la distance !!!!!
J-10 :
Le stress et l’excitation commencent à prendre le dessus. Et bien évidement un tas de questions me passent par la tête :
- Suis-je bien préparée ?
- Va t’il faire froid ?
- Comment vais je me vêtir ?
- Vais-je passer les 3 barrières horaires imposées par l’organisation ???
- ………
Je n’ai pas encore toutes les réponses mais je continue d’y croire.
Il ne me reste plus que :
- 2 séances de fractionné
- 1 run de nuit avec les « courageux » du club
- 3 jours off où j’irais probablement faire de la marche rapide en forêt.
Et après il faudra se lancer…….
J-4 :
Dernier entrainement de nuit, on est un peu plus nombreux que la dernière fois malgré le froid.
C’est l’occasion pour moi de faire les derniers réglages en utilisant le matériel et les vêtements qui m’accompagneront sur 55kms.
1er constat : je n’ai pas froid ce qui est une bonne chose et j’arrive à me sentir libre dans mes mouvements malgré les différentes couches vestimentaires et le sac à dos.
Les sensations sont très bonnes, mes jambes sont réactives et malgré la caillasse et le sol gelé mes chevilles tiennent le coup.
Je vais rester sur ces bonnes sensations en espérant les retrouver samedi pour le jour J mais maintenant place au repos.
Jour j :
J’arrive un peu stressée au gymnase du Perray en Yvelines pour récupérer mon dossard (n°514). Le froid est au RDV mais pas autant que je l’imaginais OUF c’est déjà ça.
Je laisse mon sac près d’un des nombreux bancs installés dans le gymnase et je retrouve Philippe.
J’apprécie l’ambiance générale, constate que les femmes se comptent sur les doigts d’une main et rentre rapidement dans ma bulle pour ne pas me laisser submerger par le stress et l’excitation.
19h30 TOP DÉPART.
Avec Philippe je fais le choix de partir dans les derniers pour ne pas me laisser entraîner sur un rythme trop rapide. L’objectif est de franchir la ligne d’arrivée et non de faire une perf’.
Kms 4 : 1er coup de boost via ma tante qui est sur le parcours en tant que bénévole car c’est son club qui organise la course. Début de course plutôt lent. Le passage de la route au petit single dans la forêt ne se fait pas sans bouchons où l’on se retrouve les uns derrière les autres.
Kms 11 : surprise de taille mon père est là au bord de la route, au milieu de nulle part et a attendu dans le froid pour m’apercevoir une demi seconde !!!! Je me sens pousser des ailes….
Kms 13 : 1ère barrière horaire où je pointe avec 28 min d’avance sur le temps accordé. C’est pas énorme mais suffisant pour continuer. Je me sens bien, confiante et motivée.
Mais j’ai déjà mal au dos !!!!! Probablement parce que je cours la tête penchée en avant pour bien voir où je mets les pieds (il est hors de question que je me fasse une cheville). Les kms défilent et je suis bien bien bien……
Kms 29,5 : 2ème barrière horaire et ravito liquide. Je pointe avec 21 min d’avance
J’ai officiellement dépassé ma plus grande distance de course alors les kms à venir ne sont que du bonus. Le diesel est en mode croisière sur ce magnifique parcours technique.
Je remplis rapidement ma poche à eau et je sens déjà que je me refroidis hyper vite. Certains sont enroulés dans leurs couvertures de survie et j’en entends dire aux membres de l’organisation qu’ils arrêtent là…..
Il ne faut pas trop s’attarder ici et je décide donc de repartir très rapidement.
C’est motivant de voir tous ces concurrents que je laisse sur place, au moins je ne devrais pas arriver la dernière.
Ma douleur dorsale est tjrs bien présente alors j’essaye de gainer au maximum le haut du corps pour qu’elle disparaisse et je tente de feinter mon cerveau en lui disant que je ne sens plus rien…..
Entre le kms 30 & 40 tout est un peu flou dans les souvenirs du parcours. Je ne ressens pas de coup de mou vu que je me suis alimentée et hydratée régulièrement. J’avance toujours sur un bon rythme et je suis surprise de voir que j’arrive à encaisser les montées et même à y dépasser quelques hommes qui sont clairement piqués au vif en laissant échapper des « c’est une nana qui vient de nous dépasser », «allez copain on la suit »…….je suis plutôt amusée et je crois que ça me booste encore plus pour avancer et ne rien lâcher.
Kms 42 et des cailloux, feuilles, ronces et racines plus tard : 1er marathon !!!!
Un énorme YES résonne dans ma tête, je suis fière de moi.
Mais je reviens vite à la réalité de la course. Plus que 4 kms avant la dernière barrière horaire. Je regarde ma montre et je m’aperçois que je vais être juste si je ne maintien pas la cadence. Inconcevable pour moi de me faire arrêter si près du but alors j’envoie des pensées positives à mon cerveau et j’encourage mes jambes qui commencent à se raidir un peu.
Kms 46 02h39 du mat’ 3ème et dernière barrière horaire. Je n’ai que 7 min d’avance mais ça passe OUF. Le mot finisher commence à résonner dans ma tête et j’ai l’impression d’être euphorique. Chaque traileur dépassé devient une satisfaction d’autant plus qu’il ne me reste plus bcp de kms à parcourir.
Les 2 derniers kilomètres sont un peu durs. On a quitté la forêt pour retrouver le béton et la ville, mes jambes sont raides et j’ai l’impression de ne plus les maîtriser. C’est le moment d’enclencher le mode automatique pour finir.
Kms 55,6 arrivée 04h du mat’. I’ve done it ,je suis finisher du grand Trail de l’Origole avec 45 min d’avance sur le temps accordé.
Petite larmichette en passant la ligne d’arrivée. Je pense à tous ceux qui m’ont soutenu dans cette magnifique aventure. RUN HARD FEEL GOOD
Quelques chiffres :
179ème au général sur 530 partants et 272 finishers
5ème de ma catégorie
8ème féminine sur 45 partantes et seulement 15 finishers
08h30 de course
2000D+
3286 kcal brûlées
234,4 kms parcourus lors de la préparation.
100% de pur bonheur
MERCI à tous pour votre soutien, vos encouragements, sms, mails et présence sur le parcours.
RDV au prochain défi fin juillet sur la 6000 D (65 kms, 3500D+).
Sportivement,
Véro A.
11 Déc, 2016 | Compte rendus et résultats, Témoignages
Vous trouverez ci dessous le récit de Pascal Leproust, concernant la trail du canton.
Souhaitant accompagner Mathilde dans son trail à la recherche des points UTMB, je m’embarque à faire un week-end Trail en Normandie. Eh oui, je lui laisse le 82 km avec ces 3 points et moi sur le 44km (pas capable de faire mieux en ce moment et surtout pas besoin de points).
Mon objectif est de prendre le départ et me faire plaisir à courir. Après mon épisode du printemps et cette foutue blessure aux ischios, je préfère faire du court comme ces 44km.
Ce samedi matin, après le voyage, une soirée et une nuit dans super gîte en compagnie des amis coureurs Sylvie et Eric ou si vous préférez la Chacha et le Bouiboui, nous sommes à 10h sous le soleil sur la place du village de Beuzeville pour prendre le départ.
A 5h45, j’avais déposé Mathilde et Philippe pour le 82km (à venir, récit de Mathilde).
Les coureurs sont libérés (24 et 44km) pour une boucle champêtre dans la campagne normande.
Sur le 1er km, je pars un peu devant et ensuite, je prends un rythme de croisière, tranquille.
Il fait frais, mais le soleil brille et chauffe. Nous passons par des passages dans les champs, forêts, châteaux.
18e km, l’église de Bolbec et c’est le 1er ravitaillement. Les bénévoles sont sympas en proposant de vive voix boisson et nourriture. Je reste 5 min et je repars.
Au 20e km, mince, je ressens une légère pointe dans le haut de ma cuisse gauche (souvenir du printemps dernier). Je ralentis car je ne veux pas me faire une nouvelle déchirure. Les passages bitumeux et les descentes qui peuvent permettre de belles relances sont pour moi un moment de doutes car une légère brûlure me gêne dans le haut de ma cuisse. Je continue mais je cours moins vite pour ne pas me faire plus mal. Des coureurs commencent à me dépasser.
27e km, à l’Abbaye du Valasse, le Bouiboui se joint à moi. On mange et on boit avant de repartir ensemble. Le doute s’installe au sujet de ma cuisse mais je continue sans avoir de bonnes sensations de courses. Bouiboui part devant et je ne cherche pas à le suivre car en plus du physique en berne, je commence à avoir le moral dans les chaussettes.
J’arrive au 33e Km, le dernier ravito, je vois Bouiboui. Nos regards se croisent et nous nous comprenons. Je vais continuer mais sans être un réel coureur mais plutôt un randonneur sportif. J’alterne marche et course car ma cuisse me gêne et j’ai un peu peur de me blesser. Tant pis, les 10 derniers et prochains km deviennent une course à petites foulées et marche.
Vraiment galère et je me fais doubler en permanence, mais je me dis que j’ai de la chance de pouvoir courir quand je pense aux enfants du Téléthon. En effet, ce trail est au profit de cet événement.
Notre Chacha arrive à mon niveau et continue sa course. Je la vois partir mais pas possible de la suivre entre un moral à plat et un doute sur l’état de ma cuisse.
Enfin, les derniers km et je vois enfin mon calvaire se finir en voyant la ligne d’arrivée. Ouf ! c’est la fin sans me casser mais une brulure est bien là.
Maintenant, c’est repos avant de recommencer car je n’ai pas compris pourquoi cette ancienne blessure s’est réveillée alors que j’avais retrouvé mes sensations et que mi-octobre un trail de 51km m’avait rassuré.
A une prochaine avec une nouvelle aventure plus heureuse !
Pascal
1 Déc, 2016 | Résultats, Témoignages
Voici le récit d’Aude, qui courait cette année pour la première fois le trail de nuit des flambeaux à Montfort l’Amaury, le 12 novembre 2016. Photos et résultats à venir sous peu.
17h30 : Il pleut dehors et il fait déjà nuit … bon bin va quand même falloir y aller ! Nous avons rdv à 18h à la mare aux canards !
Mais qu’est ce qui m’a pris de m’inscrire … je serais bien à rester au chaud ce soir ! En plus il n’y a que 5 degrés dehors … ça va cailler !
18H45 : Bien arrivés au gymnase de Montfort… Ah oui il fait vraiment froid en fait ! Nous récupérons nos dossards ainsi qu’un joli tee-shirt jaune fluo … On retrouve d’autres coureurs du CIVC faisant également le 18 km : on échange beaucoup sur l’équipement : kway ou pas ? Combien de couches … bref chacun hésite mais il faut se décider !
Les marmites de soupes pour le ravitaillement final sont déjà sur le feu, ça encourage !
19h50 : Nous (Véro, Anne et moi) prenons place dans la zone de départ à quelques rues du gymnase. Il pleut un crachin tout fin ! Ah mince, pourquoi on n’a pas pensé aux sacs poubelles !
Les enfants et le mari de Véro sont sur le bord pour nous encourager, ça fait passer le temps plus vite et voilà 20h et le coup de pistolet !
20h : C’est d’abord parti pour une montée vers le château de la duchesse Anne (blague qui ne fait d’ailleurs pas rire Anne) et ça monte déjà ! Beaucoup de monde, des sentiers pas très larges … on est forcé de marcher…Ce n’est peut-être pas plus mal ça permet de s’échauffer doucement. Véronique nous explique que le retour se fera par le même endroit à sens inverse … Aïe 🙁
KM1 : la lampe de Anne tombe en panne … mince mais heureusement elle en a une seconde dans son sac (nous ne reviendrons pas sur la lecture du témoin d’usure des piles !!! … il faut être pris pour être appris !)
KM3 : cette fois c’est la frontale de Véro qui dysfonctionne (nous ne reviendront pas non plus sur les différents boutons de réglages de celle-ci …il faut être pris pour être appris !!) …bref continuons !
Nous sortons ensuite du village de Monfort pour emprunter chemins, puis sous-bois, puis clairières … ah tiens mais il pleut encore…
KM7 : une cote raide et très glissante, apparemment nouveauté dans le parcours de cette année. Les coureurs “fusées” du 10km nous rattrapent et commencent à nous doubler.
La partie difficile (en tout cas pour moi) est lorsque nous sortons des sous-bois pour les kilomètres sur le bitume avant d’arriver sur le village des Mesnuls … le sol dur tape sur les genoux et cette partie semble longue ! Anne a déjà pris les devants depuis plusieurs kilomètres et Véro me “tire” car je me traine !
KM15 : retour dans les sous-bois pour le retour vers Monfort … c’est bien boueux et nous croisons les marcheurs qui sont sur le 10km … nous traversons des champs avec des flambeaux de part et d’autre… ah bin oui, ça vient de là le nom du trail des flambeaux ! 🙂
KM17 : nous rentrons dans le village et il faut remonter les marches pour atteindre le haut au château … dur dur nous marchons …mais la fin est proche et ça descend jusqu’à la fin !
KM18 : arrivée en 2h03 … ouf !
Bon, cette sortie était un apprentissage en tout cas pour moi : sur le matériel, sur mon alimentation car j’aurais dû prendre mon gel bien avant d’avoir un coup de barre (il faut être pris pour être appris !!).
Retour au gymnase ou nous avons retrouvés quelques autres coureurs du CIVC du 20 et du 10km.
Résultats du Trail des Flambeaux - Montfort l'Amaury - 12/11/2016 - 10km
| Scratch | Nom | Prénom | Clash Categorie | Temps | Vitesse Moyenne |
| 44 | CHESNEAU
| Hélèna
| 4e SEF | 00:58:40 | 11,25 |
| 110 | OHAYON | Eric | 18e V2F | 1:06:29 | 9,93 |
6 Nov, 2016 | Divers, Résultats
Dimanche 6 Novembre se tenait le 4eme édition de la course dite royale de Versailles ( pièce d’eau des Suisses ) au gymnase de Fontenay le Fleury en passant par le parc du château ( de Versailles ).
Cette année, non seulement un 20k mais aussi un 10k et une randonnée. Très bonne initiative d’ailleurs que cette combinaison de courses qui m’a permise, pas très en forme, de me rabattre la veille même de la course, sur la distance du 10k, au lieu du 20k prévu.
Patrick et Evelyne eux, ont défendu les couleurs du CIVC sur la distance reine.
Temps froid et sec, après les pluies des derniers jours, parcours un peu humide-glissant sur les feuilles d’automne, mais sans plus et notamment, pas trop de boue dans les champs de Bailly-Rennemoulin-Fontentay. Beau soleil de Novembre et belles couleurs dans les arbres.
L’organisation liée au parcours (départ-arrivée sur des lieux distants) est au point ; plusieurs bus de convoyage au point de départ, très bel endroit, à l’extrémité de la pièce d’eau des suisses. Sur place, pas de toilettes, pas d’eau, rien d’autre à faire que de s’échauffer ! Organisation familiale de course de taille modeste (800 participants en tout en comptant les randonneurs). Cependant, des ravitaillements prévus tous les 5 kms sur le 20 kms, ce qui permet de ne pas emporter d’eau si on le souhaite
J’ai trouvé dommage cependant que le parcours passe si peu de temps dans le parc du château ( on en sort dès km5 sur le 10k et dès km8,5 sur le 20k ). Le parcours du 20km a été modifié et le passage dans les champs est très joli (belle vue) et moins monotone que les années précédentes. On finit le parcours en courant dans le village et aux abords des maisons.
Ca reste une course dans le coin, plaisante, avec de belles vues sur le château, et donc à recommander. Oui A recommander ++
Résultats distance 20 kms :
| 1er | Jerome | TASSIN | 1:12:46 | 16,49 k/h |
| 152e | Patrick | LAUFS | 1:54:11 | 10,51 k/h |
| 197e | Evelyne | MAUDUIT | 2:11:27 | 9,13 k/h |
| 206e | Sonia | FLEUMARD | 2:47:56 | 7,15 k/h |
Résultats distance 10 kms :
| 1er | Azzedine | HABS | 32:54 | 18,24 k/h |
| 206e | Florence | DUFRASNES | 56:40 | 10,59 k/h |
| 363e | Vanessa | OLIVEIRA | 1:28:22 | 6,79 k/h |
Florence