Foulées Cernaysiennes 2005

LE 12 JUIN 2005

Résultats

PlaceTempsNomPrénomcatclt/cat
100:34:26FRAJTAGPavelSE1
700:37:20FAIAAlainSE6CIVC
1900:39:26DOUCHETThomasSE13CIVC
3000:40:10CHUBERREStéphaneSE20CIVC
3500:40:38BLESBOISSébastienSE23CIVC
7100:43:47MARCHALKarlSE40CIVC
8500:45:21MACIABénédicteSE2CIVC
9400:45:44SCHONBACHLERMichelV130CIVC
10500:46:25VILLAINMarcSE50CIVC
10800:46:45MARLIOTSophieSE3CIVC
10900:46:45BRIANDGenevièveV11CIVC
11500:47:11HERYClaudineV12CIVC
11900:47:17GUILLONLucV139CIVC
12400:47:35MEDARDSandrineSE5CIVC
12800:47:44LEPROUSTMathildeSE6CIVC
13300:48:06PETAZZONIFrançoiseV14CIVC
14200:48:56BENMIMOUNLahouariV216CIVC
14800:49:14VALLAUDEJean-PierreV218CIVC
17700:50:34PERNESVéroniqueV19CIVC
20100:53:10LEPLATGéraldineSE9CIVC
22900:55:29ROQUESEvelyneV23CIVC
24400:58:06BONAVENTNellyV123CIVC
24500:58:14LAGIERECatherineV124CIVC
28601:04:31BENOISTClaireSE18CIVC
29001:06:51CARIOUMarie PierreV31CIVC
30201:16:24DE CLERCQCélineSE23

Photos

Trail Ardéchois 2005

Dimanche 8 mai 2005

Résultats du 57 km

ClassementClassement par Cat.Nom CatégorieNomPrénomTempsSexe
3018SeniorCOUSSYJérôme06:46:12.00M
3419SeniorOSSARDJérôme06:53:31.00M
4622SeniorDOUCHETThomas07:03:15.00M
725Vétéran 2BOUISSETEric07:24:25.00M
862Vétéran 1APRUZZESESylvie07:34:28.00F
16270Vétéran 1GUILLONLuc08:27:53.00M
18613Vétéran 1CARONMarie Pierre08:53:38.00F

Résultats du 34 km

ClassementClassement par Cat.Nom CatégorieNomPrénomTempsSexe
7439SeniorROUSSELFranck04:07:43.00M
13565SeniorFAIAAlain04:25:43.00M
22412Vétéran 1BARRENicole04:45:48.00F
22590SeniorLEPROUSTPascal04:45:48.00M
22686Vétéran 1SCHONBACHLERMichel04:45:48.00M
23213Vétéran 1PETAZZONIFrançoise04:47:41.00F
25114Vétéran 1HERYClaudine04:49:27.00F
302121Vétéran 1PETAZZONIPhilippe05:00:52.00M
34516SeniorMEDARDSandrine05:11:16.00F
34727Vétéran 1TUNKEROTTMarja-Liisa05:11:19.00F
43961Vétéran 2TUNKEROTTDavid05:38:15.00M
504171Vétéran 1LARGEThierry07:10:52.00M
sur 509 arrivants

Résultats de la voie romaine

ClassementClassement par Cat.Nom CatégorieNomPrénomTempsSexe
375SeniorMACIABénédicte00:51:17.00F
677Vétéran 1PERNESVeronique00:58:24.00F
sur 94 arrivants

Photos

Trail de la Vallée de Chevreuse Auffargis 2005

Avril 2005

Résultats du 50 km

ClassementTempsNomPrénomcatSexeClubPar Cat.
16008:53:40.70BRIOLAnnieSEFCIV CHEVREUSE4
??07:59:30.00ROBERTLucSHHCIV CHEVREUSE??

Résultats du 15 km

ClassementTempsNomPrénomcatSexeClubPar Cat.
201:29:37.11FAIAAlainSEMCIV CHEVREUSE2
9601:51:00.43BOUISSETEricV2MCIV CHEVREUSE8
12201:54:21.48GUILLONLocV1MCIV CHEVREUSE36
13901:58:57.23LEPROUSTPascalSEMCIV CHEVREUSE71
14001:58:59.87SCHONBACHLERMichelV1MCIV CHEVREUSE43
14702:00:19.13APRUZZESSESylvieV1FCIV CHEVREUSE3
14802:00:19.37BARRENicoleV1FCIV CHEVREUSE4
15602:01:03.83MARLIOTSophieSEFCIV CHEVREUSE6
16502:01:57.01VALLAUDEJean-PierreV2MCIV CHEVREUSE17
18002:03:24.79HERYClaudineV1FCIV CHEVREUSE10
18202:04:08.60ELOIRSÈbastienSEMCIV CHEVREUSE82
22202:10:05.45MEDARDSandrineSEFCIV CHEVREUSE10
22302:10:06.77BONAVENTNellyV1FCIV CHEVREUSE16
23902:12:37.83HELLOClaireV1FCIV CHEVREUSE18
24102:12:49.55CARONMarie-PierreV1FCIV CHEVREUSE19
27502:20:30.53BENMIMOUNLahouariV2MCIV CHEVREUSE28
28402:22:42.72FAYEMÈlanieESFCIV CHEVREUSE1
28502:22:46.26NOYERESAlineV1FCIV CHEVREUSE25

10 km de Rambouillet 2005

LE 27 MARS 2005

Résultats

PlaceNomCatégorieTempsVitesse
1erIVASIV RomanSEH00h31’14’’19,2 km/h
21FAIA AlainSEH00h36’22’’16,5 km/h
71COUSSY JérômeSEH00h39’13’’15,3 km/h
178APRUZZESE SylvieV1F00h42’47’’14,0 km/h
311CARON Marie-PierreV1F00h47’16’’12,7 km/h
346HERY ClaudineV1F00h48’43’’12,3 km/h
358PETAZZONI FrançoiseV1F00h49’08’’12,2 km/h
382MEDARD SandrineSEF00h49’55’’12,0 km/h
514MEDARD NicolasV1H00h55’52’’10,7 km/h
524LARGE ThierryV1H00h56’26’’10,6 km/h
529ROQUES EvelyneV2F00h56’34’’10,6 km/h
546REUTER-ROUSSEL EvaV1F00h57’31’’10,4 km/h
621VABOIS ThierryV1H01h03’09’’09,5 km/h
623VABOIS ElisaV1F01h03’10’’09,5 km/h
625TANGHE EmmanuelleSEH01h03’47’’09,4 km/h

Témoignage : Cross de la Sablière à Viroflay 2005 (Jérôme)

LE DIMANCHE 06 FEVRIER 2005

On pouvait s’en douter ! Le cross c’est difficile mais en plus quand la météo est peu encourageante et que le terrain est détrempé, ça rend les conditions de course encore plus pénibles.
Avec 1004 inscrits, au moment du départ toutes catégories confondues, c’était déjà un pari de gagné pour l’organisation de l’U.S.M.V de VIROFLAY.
Pour revenir à la course, dès 10 heures 45, nous nous sommes tous retrouvés sur la grande ligne droite très boueuse et pleine d’ornières, en plein cœur de la forêt de VIFORLFAY.
Les conditions quasi idéales pour un cross étaient donc réunies, ce qui laissait augurer une bien belle bagarre pour cette course.
Avant même le coup de pistolet libérateur, de très jeunes athlètes, positionnés en première ligne, avouaient déjà leur volonté de performance. Bien plus sage, vraisemblablement dû à l’âge qui me séparait de ces participants, je me retirai donc en deuxième ligne.
Très vite les intentions laissèrent places aux actes. Le départ fut très rapide et ces mêmes athlètes à l’allure fluette, prenaient les commandes du peloton et je me suis surpris à les suivre sur les deux premiers kilomètres.
Avec un temps de passage de 3’19’’ au premier kilomètre, la tête de la course ne tardait pas à faire des dégâts sur les poursuivants. A cet instant, je ne savais plus très bien si j’étais à ma place mais je profitai du moment présent. Mais très vite, car certainement moins aguerri à ce type d’épreuve où la tête imposait un tempo effréné, je me laissai distancer pour retrouver un rythme plus approprié à mon niveau.
Je parvenais tant bien que mal à maintenir un écart raisonnable sur les fuyards, excepté sur ces deux côtes fatidiques, la première ne présentant pas plus d’une cinquantaine de marches et la seconde affichant 450 mètres pour un dénivelé positif de 50 m, où je « coinçai » un peu et cédai quelques places.
La dernière ligne droite fut une libération et quelle surprise de voir enfin la banderole d’arrivée. Quelle joie aussi d’en avoir terminé en laissant de nombreux poursuivants derrière soi. J’avais déjà l’impression d’avoir réalisé une belle performance et celle-ci fut amplifiée lorsque ma petite famille qui était venue m’encourager m’indiqua que j’étais arrivé parmi les premiers.

Quelle joie de se voir interviewer sur ses prestations réalisées et le bonheur suprême fut la remise des récompenses sur ce petit podium que d’ordinaire je regarde du coin de l’œil en quittant la course. Et bien cette fois-ci, j’ai pu y accéder fièrement et me voir remettre la récompense pour ma belle et honorable 2ème place dans la catégorie sénior.

Le seul regret que je puisse avoir c’est de n’avoir pu partager ce magnifique moment avec vous autres car j’étais le seul et unique représentant du C.I.V.C. N’hésitez plus, venez essayer le cross, c’est agréable et convivial, alors chaussez vos pointes et je vous dis à bientôt…

JéJé (dit le sanglier des Charentes)

Témoignage : Raid 28 2005 (Nicole)

Raid 28 édition 2005
Ce sont les femmes qui en parlent le mieux !!

Equipe N°10 les”DES BEAUCE D’ENERGIE”
Avec Luc Robert dit L’Orient., Luc Guillon dit Lucky Luc, philippe Petazzoni dit Phiphi, Eric Bouisset notre grand Capitaine et Nicole (Barre), moi.

Samedi soir 18h30, nous arrivons tous à Méridon pour un dernier plat de pâtes. Nous laissons chaussures et sacs dans l’entrée pour ne pas salir la maison que Fanfan a astiquée tout l’après midi. Une minute plus tard, mon sac baigne dans un jus sucré. C’est la boisson énergétique de « Lucky Luc » qui s’échappe de son sac et s’étale dans l’entrée de Fanfan. Rien de bien grave et tout rentre dans l’ordre après un petit verre de blanc à l’apéro (je ne sais pas pourquoi mais je m’abstiens). L’ambiance est bonne et détendue jusqu’au départ vers Bures. Un petit regard de Sylvie qui a compris que je n’en mène pas large et des petites phrases d’encouragements avant de s’installer dans les voitures pour le départ. Bien sûr des tas de questions qui restent sans réponses : “Ai-je assez d’eau ? Trop d’eau ? Trop de vêtements ? Pas assez ? …Mais toutes ces angoisses s’envolent quand on se retrouve dans l’ambiance du départ. A 22h 30, les équipes se dirigent vers les bus RATP qui nous emmènent vers une destination encore inconnue. Pas de chance, c’est dans le bus qu’il faut placer les balises et les PC sur la carte IGN qu’on nous distribue pendant le voyage. Pour notre équipe, c’est le big handicap, “L’Orient”est blanc comme un linge au bout de 5 minutes. Eric regarde droit devant pour éviter un Tsunami de pâtes et moi, je ne vois rien sans mes lunettes (je ne sais pas si avec je suis plus efficace, je préfère garder la question en supens). Bravo à Lucky Luc et à Phiphi qui ont pris l’affaire en mains et qui nous ont sauvé la mise.

Ce trajet en bus est interminable et c’est à 0 H 30 qu’on nous laisse sur une place inconnue dans le noir, le froid et le brouillard (maman, j’ai peur ! Mais non, j’ai mes 4 grands garçons autour de moi). Et là, plus d’alternatives, il faut partir et vite car on se les caille. Le tout est de prendre la bonne direction. Avec “L’Orient”, pas de souci, il m’épate. Figurez-vous qu’il est capable de lire une carte, la nuit, dans le brouillard, de retrouver des chemins disparus, tout cela en courant et avec un calme Olympien (moi qui ne sais pas lire une carte en plein jour…).

C’est très ludique une course d’orient., j’ai l’impression de vivre un jeu de piste. Dès qu’une équipe trouve une balise, les coureurs s’empressent d’éteindre leur lampe pour ne pas attirer les autres équipes. Et chacun repart sans bruit comme si de rien n’était. De grands enfants ! Cela m’amuse beaucoup, la nuit passe très vite, l’humeur est bonne, l’avancée régulière. Nous n’arrêtons jamais, le froid ne le permet pas. Phiphi voit sa magnifique barbe se transformer en blocs de glace et la chevelure de notre capitaine est toute givrée.

Ce qui est très surprenant, c’est le silence et la solitude que nous trouvons parfois, en opposition à l’agitation des équipes qui fourmillent autour de certaines balises. A ce sujet, savez vous ce qui ressemble le plus à une lumière de frontale, la nuit ? Hé hé, c’est une autre lumière de frontale. Et pour être sûrs de ne pas suivre d’autres coéquipiers, nous avons un cri de ralliement, un véritable cri de guerre : “BROCOLIS”. C’est le menu de Fanfan hier au soir. Certains voudront nous cuisiner où nous mettre en vinaigrette.

Juste avant le petit matin,” L’Orient” boîte, son genou le titille et nous sommes tous soucieux. Malgré la douleur, Luc continue à trottiner et à orienter mais le moral en a pris un coup. Heureusement, le jour se lève et ça redonne du peps à toute l’équipe. De jour, le paysage prend une importance tout à fait autre dans l’évolution des coureurs. Cette année, au menu, nous avons la Beauce dans sa plus grande dimension : des champs cultivés à perte de vue et des chemins qui les longent en ligne droite, sans la moindre originalité pour le regard. C’est long, c’est dur dans la tête. Heureusement qu’un couple de chevreuils et deux lièvres viennent, par leurs courses effrénées, donner de la vie à ce paysage. Merci aussi aux bénévoles qui nous attendent aux PC pour pointer nos cartons. Nous sommes toujours accueillis par un mot gentil et par le sourire. Nous commençons à ressentir la fatigue mais ce qui est magique, c’est l’entente qui règne entre nous cinq. Il n’y a qu’encouragements et complicité, sans être maso., c’est dans l’effort et dans la douleur que cette entente prend toute sa dimension.

Le PC 6 est là et nous devons choisir l’option “distance à parcourir”. Notre capitaine Eric est en pleine forme et nous entraînerait bien sur la plus longue distance (91 km). Nous sommes la sixième équipe à passer ce PC mais la dernière avant la barrière horaire. Les autres équipes devront choisir entre le 75 et le 55 Km. Vu l’état de fatigue, nous choisissons l’option racourci du raid28 avec l’espoir d’arriver tous les cinq.

Et c’est reparti pour de longues et interminables lignes droites le long des champs beaucerons. Heureusement que notre capitaine nous fait régulièrement des gâteries : quel bonheur cette tranche de saucisson sec ! Et ce morceau de chocolat aux amandes salées, quel plaisir. Merci Eric, tu nous as tous motivés et relancés quand il le fallait.

La coup de bambou, c’est après le PC 7, toujours les mêmes chemins, pas le moindre petit arbre ou petit virage à se mettre sous la patte, c’est long, très long. Au prochain PC, Sylvie et Fanfan nous attendent pour nous remonter le moral, mais ce PC, il recule à chaque foulée. Pas la moindre balise pour nous distraire, le moral en prend un grand coup. Je ne parle plus, toute mon énergie est concentrée à mettre un pas devant l’autre. Le moral chute et la fatigue augmente, je compte par série de dix foulées et je souffle trois grands coups pour évacuer les idées noires. Heureusement qu’il y a 4 grands gaillards que je ne veux surtout pas décevoir. Dans ma tête, il ne reste plus que 15 km, alors j’avance en trottinant puis en marchant. J’ai moins mal en courant alors je repars en comptant des séries de 30 foulées. Enfin, le PC 8 est là ! Fanfan et Sylvie sont là, c’est énorme, le plaisir que ça fait. Quelle chaleur quand elles nous prennent dans leurs bras ! Merci les filles. Il faut repartir tout de suite, nous sommes la deuxième équipe à pointer pour le 75 km. Les bénévoles nous encouragent à rattraper l’équipe précédente, la féminine est blessée. Et là, un coup derrière la nuque, on m’annonce 18 km, J’ai envie de pleurer. C’est fou ce que 3 ou 4 km supplémentaires peuvent paraître insurmontables lorsqu’on en a fait déjà 70. On repars, et là, pas question d’abandonner. Eric et Phiphi sont toujours frais et vont à la recherche de toutes les balises vertes, ils gambadent partout, c’est incroyable. Je paye une erreur d’alimentation sur les premières heures de la course. Je suis en hypoglycémie et malgré l’envie de vomir je m’oblige à avaler les gels magiques qui collent au palais mais vous donnent du punch instantanément. Lucky Luc est fatigué mais cherche à garder toujours le même rythme car relancer la machine après un arrêt, c’est encore plus douloureux. Toujours calme et de bonne humeur notre Lucky. Luc L’orient. ne sait plus s’il doit courir ou marcher vite, pas 1 cm2 qui ne soit pas douloureux. Malgré tout, il relance quand je passe à ses côtés en toutes petites foulées. Ces derniers km sont durs mais nous sommes partis à 5 et nous arriverons à cinq. Pas question d’abandonner mes 4 grands copains!

Et là, oh merveille! On m’annonce Béville le Comte. C’est l’arrivée, c’est FanFan et Sylvie qui courent à notre rencontre, c’est Loïc qui arrive avec l’appareil photo, les enfants de Lucky qui lui prennent la main, c’est la famille Chuberre qui arrive en 4X4, c’est enfin le passage de la ligne d’arrivée main dans la main. On a réussi. Comme par magie, plus de douleurs, de la fatigue mais tellement de bonheur. Merci les gars pour cette belle aventure, merci pour toutes les belles images qui me reviendront régulièrement à l’esprit. Et puis BRAVO et encore BRAVO !

Au bilan, nous avons parcouru 85 km et nous sommes arrivés à 15h42. Sur le forum du raid 28, il y a des discussions houleuses au sujet du classement. Nous sommes 9 ième sur 34 équipes au départ. Tout le monde dans l’équipe est heureux, tout le monde est allé au-delà de ce qu’il pouvait donner et ce pour l’équipe. C’est ça notre podium à nous.

A vos basckets, filles et garçons du CIVC, c’est une belle aventure qui vous tend les bras

Nicole